Jeudi premier janvier 2009. 17H17 sur l’horloge digitale du micro-onde. L’esprit embrumé et le moral plein d’hématomes, je regarde béatement le monde extérieur à travers la fenêtre. Le ciel est triste. Il est couleur bleu éteint. Les nuages sont gris et bas, on dirait presque qu’ils menacent de s’effondrer. L’horizon est semblable à lui-même, inchangé, constant, quoi qu’il puisse se passer. Maussade.