Retour à Bordeaux un peu brusque après ce séjour à Paris. Dur de revenir. Ambiance Noël en famille, achats de cadeaux, trou conséquent dans le budget "alcool".
Les familles recomposées, c'est deux fois plus de cadeaux à faire, je vais devoir attendre janvier pour payer les cadeaux de "l'autre côté".
Pendant ce temps, je me pose des questions existentielles. Je sais ce que je fuis à Paris, mais pour trouver quoi ? Je me retrouve propulsé dans le monde de la "normalité", côté "bourgeois" de la chose, en plus. Ici, pas de choix ou de libertés, il y a une voie à suivre, celle de la normalité, les choses sont simples, il faut faire "ça, ça, et ça". C'est comme ça qu'on fait.
Sauf que "ça", je l'ai en horreur. Pire encore, le fait qu'on décide à ma place de mon "avenir" m'oblige à me poser la question de savoir ce que moi, je voudrais, éventuellement, pour celui-ci. Sans aucune réponse, bien sûr, moi je ne sais rien, je sais juste ce que je ne veux plus. Mais pour faire quoi ?
Je pense à Paris, je sais ce que je fuis, je sais ce qui me manque. Rien ne changera si je retourne la bas, et rien ne me semble possible ici. Reste la possibilité de tout abandonner à nouveau, un "grand rien". Après les fêtes, pourquoi pas. Respecter les sacro-saintes obligations familiales, claquer ma thune pour vivre quelques moments agréables, et arrêter, vraiment, cette fois. Je n'en sais rien.
Vivement la fin des fêtes, vivement la fin...
Les familles recomposées, c'est deux fois plus de cadeaux à faire, je vais devoir attendre janvier pour payer les cadeaux de "l'autre côté".
Pendant ce temps, je me pose des questions existentielles. Je sais ce que je fuis à Paris, mais pour trouver quoi ? Je me retrouve propulsé dans le monde de la "normalité", côté "bourgeois" de la chose, en plus. Ici, pas de choix ou de libertés, il y a une voie à suivre, celle de la normalité, les choses sont simples, il faut faire "ça, ça, et ça". C'est comme ça qu'on fait.
Sauf que "ça", je l'ai en horreur. Pire encore, le fait qu'on décide à ma place de mon "avenir" m'oblige à me poser la question de savoir ce que moi, je voudrais, éventuellement, pour celui-ci. Sans aucune réponse, bien sûr, moi je ne sais rien, je sais juste ce que je ne veux plus. Mais pour faire quoi ?
Je pense à Paris, je sais ce que je fuis, je sais ce qui me manque. Rien ne changera si je retourne la bas, et rien ne me semble possible ici. Reste la possibilité de tout abandonner à nouveau, un "grand rien". Après les fêtes, pourquoi pas. Respecter les sacro-saintes obligations familiales, claquer ma thune pour vivre quelques moments agréables, et arrêter, vraiment, cette fois. Je n'en sais rien.
Vivement la fin des fêtes, vivement la fin...
4 commentaires:
rien ne changera si tu retournes là bas ... et alors ? on est bien tous les deux, non ? tant pis si ya pas d'avenir, de solide, de demain, meme au jour le jour, c'est cool non ?
mieux qu'un grand rien, en tout cas ...
où que tu sois, je te souhaite tout le bonheur que tu mérites petit io :*
Ecoute la dame, jeune coin-coin des steppes. Là bas, tu retourneras. Si.
Je. Bon. Hein !
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