Alors j'en ouvre un deuxième. Comme ça ce sera encore plus chouette.
Je pourrais même en ouvrir un pour chaque petite voix dans ma tête.
Tiens, tout ça rime, je suis un vrai poète.
[Nadine Burlokikovsky, 1946 - 2001, in "Poésies dans le métro de Paris", chapitre "kikoulol"]
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